La Saint-Valentin est annulée après que Cupidon, le dieu de l’amour, souvent représenté comme un enfant ailé armé d’un arc et de flèches, a été abattu par un missile de l’armée russe. Alors qu’il se rendait en France pour célébrer la Saint-Valentin ce 14 février, tout ne s’est pas passé comme prévu.
Le missile, initialement destiné à détruire un drone ukrainien, aurait inexplicablement dévié de sa trajectoire pour atteindre et tuer le dieu de l’amour. D’après l’armée française, cet acte serait volontaire. En pleine guerre avec l’Ukraine, soutenue par l’Europe, la Russie aurait cherché à priver les Français de leur fête des amoureux.
De son côté, la Russie nie toute implication dans ce drame qui bouleverse le monde de l’amour. Selon Moscou, Cupidon se serait placé lui-même sur la trajectoire du missile. Une hypothèse que les experts réfutent catégoriquement. Vladimir Poutine accuse l’Occident d’instrumentaliser l’incident à des fins politiques.
Des milliers de fleuristes ont annoncé qu’ils ne pourront pas se remettre de cet incident, leur chiffre d’affaires annuel reposant principalement sur cette fête prétendument non commerciale. « Sans la Saint-Valentin, nos boutiques sont condamnées », déplore un commerçant parisien.
Les chocolatiers et bijoutiers, eux aussi, redoutent une chute du chiffre d’affaires. Face à cette crise, le gouvernement envisage de créer un fonds d’indemnisation exceptionnel pour soutenir les commerçants en attendant de trouver un nouveau Cupidon.